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  • Philippe Prioton

Peut-être le plus beau compliment que j'aie jamais reçu...

Il y a des moments dans la vie d'un écrivain public où l'on doute beaucoup...

On se cherche, on hésite, lorsque le téléphone ne sonne pas on se questionne, on se demande si nous sommes à notre juste place.


Et parfois on est déstabilisé, on reçoit des messages qui ne nous font pas plaisir, des menaces parfois même, le monde de la littérature est une jungle où l'on croise une faune bigarrée de personnes... Évidemment lorsqu'elles sont malveillantes, on est touché au plus profond de son être. Alors qu'il ne faut pas.


Leur méchanceté, leur animosité, leur perfidie et leur noirceur est un reflet de leur mal-être intérieur. Alors quand j'ai reçu des menaces, je les ai ignorées.


J'offre à ces gens, qui se reconnaîtront, qui n'ont jamais au grand jamais pris la peine de se présenter, ni de me contacter (un oubli, de la timidité, je ne le saurais probablement jamais) ma plus belle indifférence.




En revanche, quand un client, ne serait-ce qu'un seul, vous fait l'honneur, le plaisir et la joie de vous envoyer le message suivant, votre coeur se remplit de joie, de gratitude, et vous savez alors que vous êtes sur le bon chemin. N'en déplaise...


Merci à celui qui se reconnaîtra...


Cher Monsieur,

J'ai relu l'ensemble du manuscrit et malheureusement je trouve que vous avez un problème très grave. Cela m'attriste beaucoup, car je pense que vous avez vraiment raté votre vocation, parce que vous êtes un excellent écrivain. Vous êtes capable d'agencer les idées des gens (en tout cas les miennes) de façon magistrale.


Merci beaucoup pour le travail que vous avez effectué jusqu'à présent. J'aurais été totalement incapable de mettre les choses en ordre comme vous, et je me rends compte que c'est beaucoup de travail.

En vous remerciant.

Cordialement,

D.





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